CREW TESTIMONIES


Stéphanie (Hôtesse)

J'ai été vacciné par 3 fois ( Comirnaty by Pfizer), le 15/05/2021, le 26/06/2021 et le rappel en date du 24/01/2022. malgré tout, j'ai attrapé le Covid le 08/04/2022. ( symptômes légers)

À partir de la vaccination, mes menstruations se sont arrêtées, définitivement. Et dans la nuit du 22 septembre des douleurs intenses sont apparues, d'un coup. Des douleurs irradiantes, partant du pied gauche sont remontées petit à petit dans mes 4 membres. Fourmillements, enserrement, crampes et impression de gonflement de ces 4 membres. Ainsi que problèmes de déglutition, anesthésie transitoire d'une moitié de visage, nausée et difficultés à tenir debout, problèmes d'équilibre. Et tout ceci en une petite nuit. Les douleurs ont persisté à un haut niveau jusqu'à mi-décembre (8 mois...), les problèmes de nausées et d'indigestion m'ont fait perdre 5 kg.

Je n'ai pas dormi pendant presque 1 mois ( certainement dû à mon anxiété de ne pas savoir ce que j'avais) ainsi que les douleurs qui s'amplifiaient une fois allongée. J'ai eu une longue période de soif intense et toujours ces problèmes de déglutition. Plus de force dans les bras et les mains, avec un problème de décalage entre une intention de geste et le geste en lui-même. Comme si mon cerveau avait un décalage d'une ou 2 secondes. Des soucis d'apparitions de tâches de sang sur la paupière, et des bleus sans m'être cognée.

Puis petit à petit, sur 10 mois, doucement, cela va de mieux en mieux. Maintenant après plus d'un an j'ai l'impression d'avoir retrouvé enfin mon corps même si des petits soucis légers persistent. En décembre je vais en médecine interne pour un protocole de ponction lombaire et irm

Elise (Hôtesse)

Je ne souhaitais pas me faire vacciner contre le covid et je me suis sentie contrainte de le faire pour pouvoir continuer à exercer mon travail et être libre de continuer mes activités, avec mes enfants.

Lors de la première injection du vaccin pfizer, j'ai gardé une douleur très intense dans le bras pendant plus d'un mois, avec la difficulté de lever et mouvoir mon bras. Depuis l'injection de mes deux vaccins pfizer, mon cycle menstruel est totalement perturbé. J'ai des symptômes prémenstruels qui durent plus deux semaines (contre deux jours auparavant) : fatigue, douleurs à la poitrine et aux ovaires très fortes, migraines, irritabilité. Mes règles sont hémorragiques pendant une longue semaine ( contre deux ou trois jours de petites règles avant ). Je ne peux plus sortir ni rien faire pendant cette période car malgré les protections que je change toutes les demi heures, ça ne suffit jamais et je subis de nombreuses fuites de sang. Lorsque je suis en vol, c'est extrêmement angoissant. Je dois interrompre mes tâches pour aller aux toilettes régulièrement, avec le stress que l'hémorragie déborde. En escale, pendant la période de mes règles, je ne sors pas de ma chambre pour ces mêmes raisons.

Il y a 20 ans, j'ai suivi un traitement de fond contre les migraines. Elles avaient totalement disparu de ma vie. Elles sont réapparues à la suite des vaccins. Depuis la vaccination, je me sens quotidiennement fatiguée, avec des pertes de mémoires et d'attention.

Samuel (Officier Pilote)

Après m'être fait vacciné contre le COVID-19 (2 doses Pfizer), et lors de ma visite annuelle d'aptitude de classe 1, le CEMA réalise un électrocardiogramme et détecte pour la première fois un petit problème cardiaque sans conséquence sur l'obtention de ma licence. Néanmoins, les ECG des années précédentes n'ont jamais révélé le moindre problème. Le CEMA me donne une aptitude temporaire de quelques mois et me demande de revenir passer un test d'effort et une échocardiographie. Ces tests se déroulent sans aucun problème. A la suite de ces résultats, le CEMA prolonge mon aptitude de plusieurs mois et me demande de faire de nouveau un ECG lors du renouvellement de mon aptitude médicale afin de suivre l'évolution du problème.

Mes vols se poursuivent normalement, toujours sans aucun symptôme. L'hiver suivant, je reçois ma troisième dose du vaccin contre le COVID-19 (Moderna). Quelques heures après avoir reçu mon injection, je ressens des palpitations cardiaques, une sensation de montée rapide en altitude et une désaturation en oxygène à 92%. 3 semaines après je réalise un holter pour analyser mon rythme cardiaque sur 24h. On y détecte toujours les problèmes cardiaques évoqués plus haut, mais de façon plus marquée. Mon généraliste fait alors la relation entre les doses de vaccin contre le covid et mes symptômes. En effet, 3 semaines avant ma dernière visite annuelle de classe 1, je venais de recevoir ma deuxième dose de vaccin contre le covid (Pfizer). Mon généraliste diagnostique alors une myocardite. Nous avons fait une déclaration à la pharmacovigilance.

L'Agence Régionale de Santé répondra plusieurs mois plus tard qu'il n'est pas exclu que les doses de vaccin soient la cause de cette inflammation du muscle du coeur. N'ayant toujours aucun symptôme visible, mes vols se poursuivent normalement. Au bout de quelques mois et juste avant de repasser ma classe 1, je décide de refaire un holter de contrôle en espérant que les problèmes cardiaques aient disparu. Malheureusement, la situation s'est agravée, et non compatible avec le métier de pilote. Je suis donc arrêté de vol, le temps de résoudre ce problème médical. En termes de symptômes, ceux-ci sont devenus largement perceptibles. Fatigue, palpitations cardiaques, fréquence cardiaque très basse ou très rapide sans raison apparente, pincement au muscle du coeur sont ainsi les ressentis que j'ai vu progresser avec le temps.

J'ai donc consulté un cardiologue qui m'a proposé une intervention chirurgicale. Un examen de contrôle était prévu afin de vérifier la disparition de ce problème. Il me restait ensuite à repasser mon aptitude médicale en espérant être apte et pouvoir enfin envisager le retour en vol. L'arrêt en tout et pour tout aura duré 1 an.

Olivier (Officier Pilote)

Vacciné deux doses en juillet-août 2021 suite aux annonces de notre cher gouvernement.

Au départ, je n'étais vraiment pas chaud mais ai cédé pour le travail car cela commençait à devenir compliqué pour exercer mon travail. Suite à la première injection, quelques ganglions dans le cou. Rien de bien inquiétant. Deuxième injection (car jamais contaminé au COVID) et là je me réveille deux jours plus tard avec une boule de la taille d'une balle de baby foot au niveau de la thyroïde. Rendez vous chez mon médecin qui me demande d'effectuer rapidement une échographie et de prendre rendez vous avec un endocrinologue.

Deux nodules apparemment existants semblent s'être « réveillés » avec le vaccin, dixit l'endocrinologue. Cela mettra 3 semaines à dégonfler. Je suis suivi maintenant pour ces deux nodules. Autant vous dire que je refuse la troisième dose, cet événement m'ayant bien refroidi, mais aussi parce que j'ai ensuite attrapé le COVID deux fois à 3 mois d'intervalle !

Pierre (Officier Pilote)

On nous demande de prendre des vols commerciaux pour se rendre sur des aéroports afin d'y effectuer notre travail de pilote à la demande. Les compagnies de transport demandent des tests pcr ou le vaccin pour embarquer. Je ne supporte pas l'inconfort des tests PCR invasifs répétés. Par ailleurs, la pression du management est forte sur les pilotes non vaccinés. Le milieu médical avance une protection pour soi et les autres et n'annonce aucun danger concernant ces vaccins.

Je fais la troisième dose et tombe malade en même temps, sans doute le 30 décembre durant mon vol retour de Dubaï. J'ai eu de la fievre, donc un jour avant le vaccin pris le 31 decembre. Lorsqu'un test est enfin disponible, moment où on ne trouvait pas de test, je constate que je suis positif le 4 ou 5 janvier. Outre la très mauvaise semaine passée à avoir l'impression de prendre le costume d'un homme de 90 ans, je me relève.

Mais depuis, je suis systématiquement en train de tousser. Je récupère difficilement. J'ai des palpitations cardiaques. Il m'est arrivé de rester en chambre 1 semaine complète, fin mai.

Le medecin m'a mis en arrêt pour « burn out » et douleurs de dos, j'avais des douleurs invalidantes au niveau du coup et des bras. Depuis le 1er janvier 2022 j'ai arrêté toutes mes activités extra pro. Je ne sais pas a ce jour ce qu'il m'est arrivé.

Georges (Commandant de Bord)

Suite à ma première et dernière injection avec le vaccin Pfizer, j'ai ressenti dès le lendemain des arythmies cardiaques qui ont duré plusieurs semaines, particulièrement pendant des activités sportives sollicitant le coeur. J'ai 47 ans et en très bonne santé depuis toujours.

Suite à une recrudescence d'arythmies après des séances de sport, mais aussi en vol, j'ai consulté en urgence un cardiologue qui a détecté des extrasystoles pendant un exercice d'effort. Il a conclu que ce n'était pas dangereux et que je pouvais continuer de voler. A ma question « que dois-je faire pour les futures injections », il m'a tout simplement rétorqué : « continuez les vaccins Covid mais surtout faites le pour nous ». Je suis resté pantois face à sa réponse et seul face à mon inquiétude. Même attitude pour mon médecin généraliste.

Lors de ma dernière visite médicale aéronautique (Classe 1), le médecin a détecté une anomalie sur mon ECG qui correspondrait à une légère myocardite. Sans pouvoir le prouver bien sûr, il est convaincu du lien avec la vaccination. C'est la première fois en presque 25 ans d'ECG que l'on me détecte une anomalie cardiaque. Je ne souhaite plus tester d'autres injections car les seuls perdants en cas de complications seront moi, ma famille et ma carrière. Faire parti des chiffres et statistiques de personnes ayant des effets secondaires graves ne m'intéresse pas.

Concernant les vaccins Covid je n'ai plus aucune confiance dans le gouvernement et ses « experts ». Quitte à perdre mon travail je refuserai de me faire vacciner de nouveau. Cela reste néanmoins un stress non négligeable et une épée de Damoclès sur ma famille.

Stéphane (Commandant de Bord)

2ème dose de Pfizer en août 2021. Je contracte le covid (omicron) en janvier 2022, en ayant tous les symptômes qui me durent 5 jours. Je reprends le travail. Je ressens de plus en plus une fatigue anormale. Je prépare tant bien que mal une sélection instructeur, que j'échoue, tellement j'ai des soucis de concentration, mais surtout de fatigue. Mais Je mets ça sur le compte de l'hiver.

Je suis de plus en plus fatigué et un autre symptôme intervient, l'essoufflement. Impossible de faire mes sorties de vélo normalement. Je me suis enfin décidé à aller consulter mon médecin qui m'envoie réaliser un scanner. J'en sors avec un épanchement pleural et suspicion d'embolie pulmonaire (D-Dimere à 3200). A ce jour j'ai perdu temporairement, je l'espère, mon aptitude CEMPN et ne sais absolument pas quand je la retrouverai.

Eric (Officier Pilote)

Victime en avril 2020 d'un Syndrome Coronarien Aïgu suite à une thrombose sur l'artère IVA, j'ai été traité avec des anti-coagulants. Fin mai 2021, devant l'évolution favorable de mon état de santé, une échographie est effectuée et aucun thrombus n'est visible.

Suivant les recommandations de mes différents médecins (traitant, CEMA,..) je reçois ma première dose de vaccin Pfizer contre la Covid-19 Juillet 2021, suivi par son rappel en août 2021. 3 mois plus tard, lors de ma consultation semestrielle chez mon cardiologue, l'échographie montre un thrombus apical de 18mm de diamètre au sein du ventricule gauche. Ce thrombus sera confirmé par un IRM myocardique en décembre 2021, il est traité par anti-coagulant.

Je contacte alors un médecin Interniste afin d'aller plus en profondeur sur l'exploration des causes ayant pu amener à cette formation de caillot. De nombreux examens sanguins ainsi qu'un scanner, sont effectués à la recherche d'anomalies de coagulation, mais tous reviennent négatifs. Le médecin me dira alors oralement que, si pour lui, le vaccin contre la Covid-19 n'est pas la cause de la formation de ce thrombus, les injections ont sans doute contribué à la formation et à l'expansion du thrombus. Il refusera cependant d'éditer un certificat de contre indication à la vaccination contre la Covid-19.

Laurent (Commandant de Bord)

3 semaines après 1ère injection Pfizer : Douleurs dans les jambes, fièvre, courbatures. Test PCR négatif. Infection virale bénigne diagnostiquée par le médecin traitant. 2 jours après en fin de nuit, douleur à la poitrine, à la mâchoire, aux avant-bras avec essoufflement et forte fatigue. Admission aux urgences puis en soins intensifs cardiologie pendant une semaine. Aucun antécédent cardiaque

Diagnostic confirmé par IRM : Myocardite aigüe due au vaccin
Toujours en arrêt d'activité depuis plus de 6 mois.

Valérie (Hôtesse)

1ère dose Moderna afin de pouvoir reprendre mon travail après un arrêt maladie à l'été 2021. Environ 1 semaine après, hémorragies importantes et maux de ventre qui m'ont obligée à me rendre aux urgences. Les médecins ont diagnostiqué une adenomyose qui nécessite une hystérectomie. En plus de cela, après la seconde dose se sont rajoutés, des vertiges quotidiens que je sois assise, couchée ou debout entraînant des chutes, des acouphènes permanents, une sciatique cervico-brachiale apparemment le syndrome Parsonage Turner.

Sandrine (Hôtesse)

Je suis hôtesse de l'air MC. Je me suis faite vaccinée par trois fois au Pfizer. Les effets indésirables ont commencé après la deuxième injection. Un dérèglement hormonal, alors que je suis parfaitement réglée. Mon cycle de 28 est passé à 14 jours. A ce stade là je n'ai pas pensé à une conséquence potentielle de la vaccination, car je n'avais pas d'autres symptômes. Puis est venu le temps du rappel, la troisième injection. J'étais réticente, mais en tant que maman isolée et sans famille en région parisienne je n'ai pas eu d'autre choix que de faire ce rappel. Il m'était impossible d'organiser les tests avant vol au gré des plannings, ma fille a trois ans. Il m'était difficile de venir plus tôt au travail pour gérer les tests PCR et perdre autant de temps. Ainsi je me suis résignée.

J'ai réussi à obtenir une dose Pfizter, je me disais quit à avoir du poison dans les veines autant obtenir le même que le précédant. J'avais peur des mélanges. Ainsi j'ai été vaccinée au Pfizer. Mais cette fois çi et très rapidement des effets indésirables inquiétants sont survenus. En effet quelques jours après cette troisième injection j'ai eu des vertiges, comme une sensation de ne plus maîtriser la notion d'espace, de distance, comme si mon oreille interne était touchée. Et ce pendant 40 secondes environs à chaque malaise. Assez pour comprendre que cela était anormal : car à chaque fois je notais que j'étais immobile. Je me souviens de discuter avec un collègue à la Cité Pn, et soudain d'être prise de vertige. J'étais pourtant tranquillement attablée et buvant une boisson.

Puis un deuxième dérèglement hormonal. Vaccinée le 10 janvier je devais être réglée le 12 janvier. Elles sont arrivées le 01 février avec 18 jours de retard. Pendant cette attente j'avais le ventre tendu, avec une douleur aiguë au niveau de l'ovaire droit. Cette douleur me gênait lorsque je me baissais ou bien me courbais. Elle est toujours existante aujourd'hui bien que moindre. J' avais des bouffées de chaleur. J'ai ensuite commencé à avoir des courbatures persistantes, notamment au niveau de l'épaule gauche. Les courbatures se sont généralisées. Elles se sont accompagnées d'une fatigue chronique et d'une faiblesse musculaire.

Je me sens fatiguée et lasse, ce qui n'est pas mon état normal. Je suis très sportive, natation course à pieds et vélo. Je n'ai donc pas réussi à reprendre le sport comme je le faisais avant de façon intensive.

Julie (Hôtesse)

Hôtesse épuisée raconte qu'elle a fait sa première injection au mois de mai en fin de matinée. Toute la journée s'est bien passée, elle s'est couchée et s'est endormie comme d'habitude. Elle s'est réveillée à 1H du matin et depuis elle ne peut plus dormir sans un puissant somnifère. Sa conscience professionnelle lui interdit d'en prendre avant et pendant une rotation, de ce fait elle fait toute ses rotations en dormant à chaque fois que 3 à 4 h sur la rotation.

Sonia (Hôtesse)

Il y a un an, suite à l'apparition de ganglions, les analyses sanguines ont mis en évidence une présence d'anticorps de maladies auto-immunes (Gougerot et le Lupus). Ces maladies ne sont pas encore déclarées, seulement quelques légers signes cliniques, mais si cela était le cas, elles ne seraient pas compatibles avec l'exercice de la profession de PNC (syndrome sec) et donc mon aptitude médicale. Les médecins du travail, mon médecin traitant et le Docteur S., secteur des maladies du sang au CHU de Lille comprennent mon inquiétude vis à vis du vaccin covid, ne peuvent me garantir aucune conséquence sur mon système immunitaire mais n'ont pas la possibilité de remplir le certificat de contre-indication car cette clause n'y apparaît pas. La liste est très restrictive.

Sylvie (Chef de cabine)

Lors d'un vol en janvier 2022, le chef de cabine, 48 ans ,m'a confiée qu'il avait eu des vertiges mais surtout perdu la vue pendant 15 minutes, quelques jours après son vaccin, 5 mois auparavant.

Cet homme a subi une IRM qui a montré de petits AVC.

Laurence (Hôtesse)
J'ai fait mon vaccin en Août 2021. C'était la deuxième dose du Pfizer. J'ai eu un déréglement hormonal qui m'a fait avoir des règles hémorragiques pludant 18 jours en continue, causant anémie, épuisement H24. Elles sont arrivées avec une semaine d'avance,anormalement douloureuses, j'avais des maux de tête,des vertiges, de la fatigue constante et l'apparition de caillots. J'ai toujours eu un cycle parfaitement regulier et d'une courte durée, (3 jours maximun) 14 jours plus tard j'ai eu à nouveau mes régles pou un cycle de 7 jours. J'ai eu des spasmes horribles, des douleurs intense et continue.

A ce jour j'ai encore un flux long et abondant, des crampes comme des contraction utérines même après avoir eu mon cycle et je suis toujours aussi epuisée.

Valérie (Commandant de Bord)
Lors du prélèvement nasopharyngé effectué pour procéder à un test PCR dans le cadre d'un vol dans les locaux de la compagnie, je ressens une douleur dans la zone concernée. J'apprends par ailleurs , au moment du briefing , que trois PNC de mon équipage ont ressenti des effets similaires, l'une d'entre elle a même saigné du nez lors de son prélèvement. Dans mon cas , la gêne perdure durant la journée de vol. En escale , je me réveille durant la nuit avec mal aux sinus du côté droit où a été effectué le prélèvement, larmoiement de cet oeil , tremblement de la paupière par intermittence, tout cela doublé d'un mal de tête . Mon repos sera de très mauvaise qualité malgré la prise de cachets pour soulager la douleur.
Julien (Steward)

J'ai eu le Covid en novembre 2020. En raison de mon jeune âge, de mon parfait état de santé, et du fait d'avoir déjà eu le COVID, je n'avais pas l'intention de me faire vacciner. Cependant, face aux pressions médiatiques au printemps 2021, et à l'annonce d'un pass sanitaire à venir, je me suis fait vacciner pour la première fois au mois de juin 2021, Pfizer première dose. Tout au long de la rentrée de septembre 2021, nous nous faisons assommer de mails de notre direction nous invitant à disposer d'un pass sanitaire pour aller travailler, sous peine d'être suspendu et donc risque de perdre notre emploi. C'est sans compter sur le gouvernement qui nous mettait une pression morale allant dans ce sens, vacciner vous et vous serez sauvés ! Le sujet devient quotidien, ce qui a un impact sur notre bien-être mental, à ce moment-là, tout est flou, la peur s'installe, on se sent pieds et mains liés sans avoir le choix. Cette pression morale continue, on entend parler du Pass sanitaire qui va se transformer en Pass vaccinal, je suis donc invité à faire ma dose de rappel sous peine de perdre mon pass sanitaire qui deviendra début janvier passe vaccinal.

Mi-décembre, je fais donc mon rappel, deuxième dose, Moderna cette fois-ci. Je constate des effets secondaires. Fièvre, courbatures et cette fatigue qui s'installe et qui persiste, Mais rien d'anormal vous disent les médecins ce sont des effets connus. Mi-janvier, moins d'un mois après la deuxième injection, je suis pris de douleurs dans la poitrine, bien ciblé, côté gauche, et ça brûle, ça me brûle et ça m'oppresse. Pris de panique je contacte de membres de ma famille puis mon médecin traitant, celui-ci m'invite à me rendre directement aux urgences, c'est donc mon frère qui m'y conduit. Au vu des résultats et d'un examen médical, celui-ci m'annonce que j'ai une Péricardite et me prescrit un traitement d'une semaine. Il m'invite à ne pas faire d'activités physiques pendant 1 semaine minimum.

J'ai la trentaine, j'ai fait du sport tout au long de ma jeunesse et encore jusqu'à aujourd'hui, je n'ai aucun antécédents médicaux, je n'ai jamais eu de problèmes de santé, alors vaccin ou pas vaccin, tout ce que je peut dire aujourd'hui c'est que depuis que je me suis fait vacciner j'ai des symptômes et des douleurs que je n'avais jamais connus auparavant, jamais. Aujourd'hui, j'ai peur, peur de l'avenir et des conséquences que ce vaccin pourrait avoir sur ma santé, physique et Morale.

Vais-je faire une crise cardiaque en plein vol, au débarquement des passagers ? Me sentant contraint et forcé, j'ai fini par craquer et me faire vacciner, à mon plus grand regret

Thierry (Steward)

En août dernier lors d un vol je suis en binôme au galley business avec un steward qui se plaint de douleurs au niveau de la tête. En approchant ma main de son visage je constate une chaleur conséquente sur le côté droit de son visage qui irradie toute la zone de son oreille droite. Selon ses dires, la médecine du travail l'a prévenu qu'il s agissait probablement des effets de la vaccination qui allaient s'estomper avec le temps. Seulement après quelques échanges il décide de baisser son masque pour me montrer qu'il est victime d une paralysie au niveau de la bouche côté droit. > Il reste indécis sur le fait de réaliser sa deuxième dose et je comprends son inquiétude. Je suis apeuré au fait d avoir des similitudes sur mon état de santé.

Jean (Commandant de Bord)

Fin Mars 2021, j'effectue ma visite d'aptitude médicale professionnelle semestrielle (Classe A, vol mono pilote hélicoptère), je suis jugé apte sans restriction. Mon ECG est correct et aucun signe ne laisse présager d'un quelconque problème. En Mai 2020, je vais me faire vacciner contre la covid. Dans la foulée, pour l'obtention d'un prêt immobilier, mon assureur me demande de réaliser un ECG et une échographie cardiaque. Tandis que le cardiologue me fait l'échographie cardiaque, il découvre que j'ai fait un infarctus. Le lendemain, j'ai un rendez-vous avec le médecin du Centre d'Expertise Médical du Personnel Navigant. Ce dernier me déclare inapte au vol. Comme je n'ai eu aucune douleur et que la veille je faisais encore de l'escrime en préparation d'une compétition, il en déduit qu'il s'agit d'un infarctus silencieux asymptomatique. Il me demande la date de ma vaccination et m'annonce que c'est sûrement lié au vaccin. Mon vaccin "Janssen" a été fait 6 jours plus tôt.

A ce jour, j'ai une restriction médicale, je ne peux plus voler en mono-pilote.

Véronique (Hôtesse)

Suite à ma vaccination j'ai constaté des pertes de sang entre mes règles et des règles bien plus douloureuses (les antadys qui me soulageaient habituellement n'ont plus fait effet), j'ai fait de la tachycardie mais pas de myocarde constaté. Le 8 décembre 2021 j'ai fait une céphalée tonnerre, je me suis alors rendue aux urgences céphalées qui m'ont diagnostiqué un syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible avec pour risque l'AVC. Qu'est-ce qu'une céphalée tonnerre ? Ce sont des maux de tête qui interviennent subitement et d'une intensité très violente. Je pensais ne pas réussir à arriver consciente aux urgences. Je ne pouvais pas tenir debout tellement que la douleur était forte. J'ai noté ma douleur à 14/10 alors que je suis connue pour ne pas être douillette. Médicalement la céphalée tonnerre, c'est des spasmes des vaisseaux sanguins au niveau de la tête. J'ai donc été en arrêt maladie, au repos complet, car même me balader dans la rue était éprouvant pour moi. Je précise que je ne suis ni fumeuse, plutôt sportive, j'ai une hygiène de vie assez saine. Et je précise que je n'ai jamais pris de drogue dure puisque ce syndrome apparait souvent pour des gens qui consomment ce type de produits.

J'ai eu, pendant un mois et demi, des céphalées de tension, j'étais très essoufflée alors que plutôt sportive et avec une fatigue très intense. Je suis toujours sous traitement et avec un suivi par les urgences céphalées de Lariboisière.

Christine (Hôtesse)

1ère dose Moderna afin de pouvoir reprendre mon travail après un arrêt maladie en août 2021. Environ 1 semaine après, hémorragies importantes et maux de ventre qui m'ont obligée à me rendre aux urgences. Les médecins ont diagnostiqué une adenomyose qui nécessite une hystérectomie. En plus de cela, après la seconde dose se sont rajoutés des vertiges quotidiens, que je sois assise, couchée ou debout, entraînant des chutes, des acouphènes permanents, une sciatique cervico-brachiale apparemment le syndrome Parsonage Turner.


Christian (Commandant de Bord)

Ma fille de 15 ans a souhaité être vaccinée pour réaliser un projet scolaire à l'étranger. Moderna semblait présenter moins de risques que Pfizer, une hôtesse croisée lors d'un vol m'avait dit que tout s'était bien passé pour elle, double vaccinée Moderna. Malgré ma réticence en raison du peu d'information sur le sujet, j'ai accepté sa demande. Elle a reçu sa première dose de Moderna au cours de l'été 2021.

Deux jours après sa première dose, nous nous sommes retrouvés aux urgences avec des douleurs abdominales intenses. Des kystes étaient présents autour des ovaires avec un épanchement (rupture) pour le plus gros d'entre eux. Nous sommes restés 4 jours à l'hôpital, sous antalgiques puissants pour abaisser les douleurs.
Elle est suivie depuis par le gynécologue qui l'a reçu aux urgences. Selon lui, il ne fait aucun doute que la vaccination est liée à son état. Notre médecin de famille a refusé de prendre la responsabilité de lui faire la deuxième dose mais, ni lui, ni le gynécologue, ni moi n'avons réussi à faire remonter cet incident à la pharmacovigilance nationale. Depuis, j'ai recroisé l'hôtesse en question qui m'a rapporté avoir des problèmes d'ordre gynécologique également.

Depuis ce jour, je me rends compte de problèmes survenus à des proches, oncle, tante et amis : Un oncle s'est retrouvé avec un bras qui a triplé de volume, cela s'est résorbé après quelques jours mais dans les 2 mois qui ont suivi, on lui a posé un pacemaker. Le hasard... Sa femme, donc ma tante, a fait un AVC cérébral la semaine qui a suivi la vaccination, des troubles du langage ont perduré pendant plusieurs semaines. Le hasard encore... Un autre oncle, a fait une embolie pulmonaire et a passé quelques jours à l'hôpital une semaine après vaccination. Quelques mois après, on lui a trouvé une grosseur sur le pancréas, il attends une intervention pour analyse. Le hasard encore et encore... Un ami proche de mes parents est décédé d'un double cancer foie/pancréas déclaré subitement. Un troisième oncle est en fin de vie également avec un double cancer foie/pancréas.

Pour être complètement exhaustif, je connais heureusement des personnes vaccinées qui vont très bien... pour le moment.

Pour moi, ma femme et mes enfants, le « quoi qu'il en coûte », sera désormais sans vaccin.

Jean (Officier Pilote)
Suite aux annonces gouvernementales et à l'obligation de détenir un pass sanitaire pour exercer mon métier de pilote, je me suis fait vacciner. Relativement jeune, la trentaine, et en bonne santé je n'imaginais pas une seconde avoir le moindre effet secondaire après un vaccin.
J'ai reçu une première dose de Moderna au mois d'août. Pendant les 10 jours suivants, mon bras gauche était énormément gonflé, douloureux, rouge et très chaud.
J'ai reçu ma deuxième dose de Moderna fin août. Dès le lendemain, j'ai ressenti une très grosse fatigue, sans parvenir à dormir normalement, je me suis retrouvé dans un état anormal. Ma femme m'a emmené chez notre médecin 3 jours plus tard car je « perdais la mémoire », je posais plusieurs fois les mêmes questions dans une journée et je ne me souvenais de rien. J'avais également beaucoup de mal à trouver mes mots pour parler ce qui m'empêchait de tenir une discussion. Notre médecin nous a dit qu'il avait d'autres patients dans le même cas et que ces effets secondaires pouvaient durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois. J'étais aussi très essoufflé au moindre effort physique. Notre entourage confirmait aussi que je n'avais pas un comportement habituel et que j'étais « bizarre ».
Le médecin m'a arrêté de travail pendant dix jours avant de me revoir une seconde fois pour m'arrêter huit jours de plus.
J'ai repris les vols vers la fin du mois de septembre, aucun souvenir du dernier vol de la journée. Le lendemain, le Commandant de Bord m'a demandé si j'étais capable de faire la journée. Il m'a raconté que lors du vol de la veille, je n'étais pas « présent », que j'avais fait plusieurs erreurs, raté plusieurs messages radio et qu'il avait fait une approche ILS complète sous AP car il me trouvait fatigué. J'ai dormi tout le trajet dans la navette jusqu'à l'hôtel. Je ne me souvenais de rien le lendemain.
Concernant ma condition physique, je n'ai toujours pas repris d'activités sportives, je suis extrêmement essoufflé dès que je cours un peu, j'ai essayé de remonter sur notre vélo d'appartement et au bout de quelques minutes sans forcer, je monte à 160/180 pulsations par minute
Agat. (Hôtesse)
Je souhaite expliquer pourquoi je suis très réticente à la deuxième injection du vaccin ARN anti Covid. Seulement 4 heures après la première dose du vaccin Moderna, je ressens de fortes douleurs dans le bas ventre, à l'ovaire droit pour être plus précise. Suivi de nausées. Je décide de me mettre en position foetale pour pallier à la douleur mais rien n'y fait, j'ai l'impression d'avoir des contractions comme lors de mon accouchement. Finalement le lendemain matin après avoir utilisé des somnifères pour passer la nuit, la douleur est moindre. Depuis, mes règles sont perturbées et je ressens régulièrement des picotements à l'ovaire droit. J'ai peur du vaccin et bien entendu j'ai très peur pour beaucoup de jeunes filles et la stérilité des générations à venir.
Expérience d'une anonyme qui souhaite simplement que les gens ouvrent enfin les yeux sur les effets secondaires du vaccin ARN.
Sylvie.
Je suis la maman d'une jeune fille de 20 ans en parfaite santé. Elle a été vaccinée pfizer deux doses en mai et juillet. La réaction au vaccin fût un oedeme de Quincke avec rash cutané persistant. Aujourd'hui les constantes sanguines sont mauvaises avec une CRP de 39. Elle éprouve une grande fatigue inexpliquée. Des examens sont en cours.
Sandrine. (Hôtesse)
Sur un vol retour CDG, nous avons du faire un appel médecin pour un steward , PNC de notre vol, qui ressentait une violente douleur à la jambe ainsi qu'une douleur dans le dos. Homme de 45 ans environ, PNC vacciné deux fois. Suivi pour une phlébite récente (un mois et demi avant environ) suivant ses dires, ainsi que sous anti-coagulants.
Conclusion du médecin, suspicion de phlébite et risque thrombose. Pas d'urgence vitale néanmoins car constantes bonnes. Le PNC fût allongé en classe J avec surveillance et obligation de se lever pour marcher. Retour Paris avec une demande de réaliser un doppler.
Béatrice. (Hôtesse)
J'ai fait un vol fin 2021 avec une chef de cabine principale vaccinée deux fois . Nous étions au petit déjeuner lorsqu'elle est devenue rouge et s'est plainte de bouffées de chaleur soudaines qu'elle n'avait jamais eues en ménopause pourtant. Elle a décrit une situation de dérèglement post vaccinale, qu'elle relie à la vaccination, dans laquelle, bien qu'étant depuis un certain temps ménopausée, les saignements utérins ont repris , les hormones se sont déréglées sensations de malaise désagréable comme celui ci ,et surtout, une grosseur à la thyroide ,qui avait été soignée des années auparavant, était en train de réapparaitre . Cette grosseur se sent maintenant à la palpation.